Plaisirs des sports
. Essais sur le corps humain
Collection Blanche
Gallimard
Parution
Le seul plaisir des sports n’est pas dans la gloire des champions, ni dans l’amour du risque, mais tout aussi bien dans les sensations internes et les jouissances du mouvement. Sentis sourdement, ces plaisirs sont susceptibles d’éducation.
Jean Prévost a tenté d’abord sur lui-même cette éducation, par des méthodes parfois empruntées à la science hindoue, parfois entièrement nouvelles. Ses découvertes sur le corps tantôt il les communique aux lecteurs par de brefs essais, tantôt il les suggère en impressions et en nouvelles.
De cette connaissance du corps naît une morale nouvelle, fondée sur le plaisir. L’entraînement, la sobriété, l’abstinence cessent d’être pénibles pour un corps conscient de soi, qui y retrouve avec plaisir les conditions de la santé, de la légèreté.
Ce livre, si loin en apparence de l’esprit de championnat, est le premier pourtant qui justifie l’existence et la gloire des champions : il explique de quelle manière le spectacle des champions est un bienfait corporel pour les spectateurs.
Jean Prévost a tenté d’abord sur lui-même cette éducation, par des méthodes parfois empruntées à la science hindoue, parfois entièrement nouvelles. Ses découvertes sur le corps tantôt il les communique aux lecteurs par de brefs essais, tantôt il les suggère en impressions et en nouvelles.
De cette connaissance du corps naît une morale nouvelle, fondée sur le plaisir. L’entraînement, la sobriété, l’abstinence cessent d’être pénibles pour un corps conscient de soi, qui y retrouve avec plaisir les conditions de la santé, de la légèreté.
Ce livre, si loin en apparence de l’esprit de championnat, est le premier pourtant qui justifie l’existence et la gloire des champions : il explique de quelle manière le spectacle des champions est un bienfait corporel pour les spectateurs.