Petit éloge des séries télé
Parution
«Quelques-uns des droits inaliénables du sériephile (avec mes remerciements à Daniel Pennac) :
Le droit de regarder sans être jugé ou méprisé.
Le droit d’aimer (ou de détester) sans devoir se justifier.
Le droit de revoir indéfiniment ses épisodes préférés.
Le droit de considérer certains personnages comme des amis intimes.
Le droit de rire, de pleurer, de souffrir, d’espérer en regardant un épisode et, une fois qu’il est terminé, de se sentir compris et valorisé, éclairé et informé.»
Le droit de regarder sans être jugé ou méprisé.
Le droit d’aimer (ou de détester) sans devoir se justifier.
Le droit de revoir indéfiniment ses épisodes préférés.
Le droit de considérer certains personnages comme des amis intimes.
Le droit de rire, de pleurer, de souffrir, d’espérer en regardant un épisode et, une fois qu’il est terminé, de se sentir compris et valorisé, éclairé et informé.»