Pañcatantra
Première parution en 1965
Annoté par le traducteur
Parution
Depuis la traduction de Lancereau, en 1871, on n'avait jamais redonné en français ce fameux recueil d'apologues et de contes, l'un des livres les plus illustres et les plus charmants de toutes les littératures. Dans l'édition que nous en produisons et que présente M. Louis Renou, on n'a rien changé ni au texte ni aux notes. Simplement, on a cru devoir adjoindre un texte où le grand sanskritisant du XXᵉ siècle fait le bilan d'un siècle de recherches touchant le Pañcatantra.
«Laissons-nous aller au charme de ces récits, à la fois savants et naïfs : est-il une façon plus agréable de raconter ? Nous sommes aussi loin que possible de la littérature habituelle de l'Inde ancienne, celle qu'alourdit si souvent le poids des spéculations philosophiques ou religieuses. On voit ici tout ce que l'Inde recèle d'aimable dès lors qu'elle laisse librement sourdre les fontaines de son génie.» Croyons-en sur parole M. Louis Renou. Diffusé dans le monde entier, traduit en de nombreuses langues, le Pañcatantra nous intéresse tout particulièrement, parce que sans lui aurions-nous notre La Fontaine ?
«Laissons-nous aller au charme de ces récits, à la fois savants et naïfs : est-il une façon plus agréable de raconter ? Nous sommes aussi loin que possible de la littérature habituelle de l'Inde ancienne, celle qu'alourdit si souvent le poids des spéculations philosophiques ou religieuses. On voit ici tout ce que l'Inde recèle d'aimable dès lors qu'elle laisse librement sourdre les fontaines de son génie.» Croyons-en sur parole M. Louis Renou. Diffusé dans le monde entier, traduit en de nombreuses langues, le Pañcatantra nous intéresse tout particulièrement, parce que sans lui aurions-nous notre La Fontaine ?