On ne me croira pas
Gallimard
Parution
«On ne me croira pas...» écrit Johny Hill du fond de sa prison. Comment pourrait-on le croire, en effet? Tout est contre lui. Et pourtant il est innocent. On l'accuse du meurtre de deux femmes. Ces deux femmes sont bien mortes, mais il ne les a pas tuées. L'une est morte dans un accident : ça, on peut le prouver. L'autre s'est (sans doute) suicidée, et là il n'y a aucun moyen de l'établir. Johny Hill passera à la chaise parce qu'une femme s'est suicidée.
Innocent, Johny Hill l'est, il n'y a pas d'erreur, mais pa sans reproches. D'abord, c'est un coureur de jupons terrible. Il est marié à la femme la plus aimable et la plus aimante qu'on puisse trouver, mais voilà, il ne l'aime pas. Il ne l'aime plus. Il la trompe avec Janis, puis avec Verna.
Et puis il a la guigne.
Et un beau jour il se retrouve à Saint-Quentin avec une accusation de meurtre sur le dos, et aucun moyen de se défendre. Le croira-t-on quand on lira son récit, qui est sincère?
Innocent, Johny Hill l'est, il n'y a pas d'erreur, mais pa sans reproches. D'abord, c'est un coureur de jupons terrible. Il est marié à la femme la plus aimable et la plus aimante qu'on puisse trouver, mais voilà, il ne l'aime pas. Il ne l'aime plus. Il la trompe avec Janis, puis avec Verna.
Et puis il a la guigne.
Et un beau jour il se retrouve à Saint-Quentin avec une accusation de meurtre sur le dos, et aucun moyen de se défendre. Le croira-t-on quand on lira son récit, qui est sincère?