Ode pour hâter la venue du printemps
suivi de Tombeau de Monsieur Aragon, La Mort de l'aimé et de Le Parlement d'amour
Préface d'Omar Berrada
Gallimard
Parution
Remettant à l'honneur la tradition du vers élégiaque, avec son mélange de narration et de confidence, Jean Ristat fait côtoyer l'épique par l'allusion et le lyrisme par l'aveu, sans jamais déchaîner les grandes orgues. Il y a chez lui une retenue du ton, une liberté dans l'enchaînement des propos, un humour dans l'évocation mêlée de souvenirs réels et de souvenirs culturels qui se conjuguent pour offrir un dosage très singulier de lucidité amère et d'espérance.
Avec Tombeau de Monsieur Aragon, Le Parlement d'amour et La Mort de l'aimé, Jean Ristat renoue avec ce genre littéraire qui, au-delà de l'oraison funèbre, confère à l'émotion, à la douleur et au deuil une inscription à la fois sobre et frémissante.
Avec Tombeau de Monsieur Aragon, Le Parlement d'amour et La Mort de l'aimé, Jean Ristat renoue avec ce genre littéraire qui, au-delà de l'oraison funèbre, confère à l'émotion, à la douleur et au deuil une inscription à la fois sobre et frémissante.