Monsieur Arkadin
Adapt. de l'anglais (États-Unis) par Maurice Bessy
Collection L'Air du Temps
Gallimard
Parution
Qui est Gregory Arkadin?
On cite ses reparties cruelles, on commente les fêtes qu'il donne, on monte en épingle ses liaisons. On le sait mêlé aux affaires les plus colossales, à des œuvres philanthropiques, aux projets les plus prestigieux. On le trouve partout, derrière chaque façade, derrière chaque puits de pétrole ; et son nom s'inscrit au bas d'une multitude de chèques. Et pourtant qui est Gregory Arkadin?
Quelles seront les conclusions de la folle enquête menée autour du monde? Qui révélera la véritable identité d'Arkadin? À quel dramatique destin sont condamnés les témoins de son activité criminelle? Deux visages de femmes éclairent cette aventure à nulle autre pareille...
À mi-chemin entre La dame de Shanghaï et Le troisième homme, ce premier grand roman d'aventures d'Orson Welles nous révèle une face insoupçonnée de son talent innombrable. On remarquera qu'il est construit comme un film, comme le film «Monsieur Arkadin» qu'Orson Welles a lui-même tiré de son œuvre, et dont il a voulu faire son chef-d'œuvre.
On cite ses reparties cruelles, on commente les fêtes qu'il donne, on monte en épingle ses liaisons. On le sait mêlé aux affaires les plus colossales, à des œuvres philanthropiques, aux projets les plus prestigieux. On le trouve partout, derrière chaque façade, derrière chaque puits de pétrole ; et son nom s'inscrit au bas d'une multitude de chèques. Et pourtant qui est Gregory Arkadin?
Quelles seront les conclusions de la folle enquête menée autour du monde? Qui révélera la véritable identité d'Arkadin? À quel dramatique destin sont condamnés les témoins de son activité criminelle? Deux visages de femmes éclairent cette aventure à nulle autre pareille...
À mi-chemin entre La dame de Shanghaï et Le troisième homme, ce premier grand roman d'aventures d'Orson Welles nous révèle une face insoupçonnée de son talent innombrable. On remarquera qu'il est construit comme un film, comme le film «Monsieur Arkadin» qu'Orson Welles a lui-même tiré de son œuvre, et dont il a voulu faire son chef-d'œuvre.