Les Pléiades
Collection Blanche
Gallimard
Parution
À l’heure où la pensée de Gobineau mène le monde, voici une publication qui vient à son heure. – Les Pléiades, le dernier roman que le célèbre écrivain a publié, est une sorte de testament de ses idées : il se console de l’avènement fatal de la démocratie dans le monde, annoncée dans son Essai sur l’inégalité des races humaines, en constatant que de la masse surgissent Les Pléiades.
Ce sont dans la vaste humanité les personnalités qui brillent d’un plus grand éclat, que Nietzsche a appelé Les Surhommes, que Gobineau avant lui appela les Fils de Roi, expression qui fit fortune et qu’il emploie ici pour la première fois ; l’auteur expose leurs idées qui souvent sont les siennes, et analyse aussi leurs faiblesses.
Ce qui fait le grand intérêt des Pléiades, c’est que le lecteur y rencontrera les fameuses idées de Gobineau, verra que là, il est bien le précurseur de Nietzsche, et que son influence est certaine sur la pensée de l’auteur de Ainsi parlait Zarathoustra.
Ce sont dans la vaste humanité les personnalités qui brillent d’un plus grand éclat, que Nietzsche a appelé Les Surhommes, que Gobineau avant lui appela les Fils de Roi, expression qui fit fortune et qu’il emploie ici pour la première fois ; l’auteur expose leurs idées qui souvent sont les siennes, et analyse aussi leurs faiblesses.
Ce qui fait le grand intérêt des Pléiades, c’est que le lecteur y rencontrera les fameuses idées de Gobineau, verra que là, il est bien le précurseur de Nietzsche, et que son influence est certaine sur la pensée de l’auteur de Ainsi parlait Zarathoustra.