Le sang peut-il vaincre la mort ?
Collection Aux Frontières de la Science
Gallimard
Parution
N'appartient plus au catalogue de l'éditeur depuis
2001
Après avoir rappelé trois cas extraordinaires d'incorruption de la chair, ceux de sainte Thérèse d'Avila, du Père Charbel Makhlouf et de sainte Roseline de Villeneuve, qui sont loin d'être uniques, l'auteur étudie les causes de la conservation de la chair, tant externes qu'internes, et montre qu'il existe une véritable physiologie de la mort. Celle-ci s'accompagne d'une singulière évolution chimique chez les
myroblytes, ces corps qui, refroidis comme des hibernants, se rapprochent de la nature végétale en distillant des baumes aux étranges propriétés et des parfums d'odeur de sainteté.
L'homogénéisation lente et progressive du nouveau milieu intérieur, qui se subt itue au sang circulant du vivant, s'accompagne parfois de phénomènes déroutants pour nos concepts scientifiques actuels, mais singulièrement proches de ceux de l'alchimie, tant opérative que spéculative : par exemple, les changements de masse du sang de saint Janvier à Naples, qui nous incitent à réviser nos concepts actuels sur les relations de la matière et de l'énergie dans le corps humain.
Le sang peut-il vaincre la mort? Cette question pose en fait tout le problème de la Résurrection de la Chair.
L'homogénéisation lente et progressive du nouveau milieu intérieur, qui se subt itue au sang circulant du vivant, s'accompagne parfois de phénomènes déroutants pour nos concepts scientifiques actuels, mais singulièrement proches de ceux de l'alchimie, tant opérative que spéculative : par exemple, les changements de masse du sang de saint Janvier à Naples, qui nous incitent à réviser nos concepts actuels sur les relations de la matière et de l'énergie dans le corps humain.
Le sang peut-il vaincre la mort? Cette question pose en fait tout le problème de la Résurrection de la Chair.