Le réveil des vampires
. Sang pour sang
Première parution en 1992
Nouvelle édition en 2010
Parution
L'Antiquité eut ses divinités assoiffées, le Moyen Âge ses pervers sanguinaires. Au XVᵉ siècle, l'Église immortalisa les morts-vivants en les reconnaissant. Le vampire eut dès lors le droit de cité. Trois siècles plus tard, en pleine raison triomphante, la psychose est générale. Le vampire est connu, décrit : un «revenant en corps», réfractaire à la croix, éventuellement à l'ail... Le théâtre de la terreur est posé. La littérature romantique va le consacrer, avec, dans le rôle du saigneur, Dracula, de Bram Stoker. Un siècle plus tard, le cinéma lui donne corps, dans tout l'achèvement de sa terrible splendeur.
Jean Martigny traque cette figure polymorphe dans les lieux mêmes où elle se réfugie : la nuit, la mort, le temps perdu.
Jean Martigny traque cette figure polymorphe dans les lieux mêmes où elle se réfugie : la nuit, la mort, le temps perdu.