« C’est l’histoire d’un homme à présent retiré des affaires publiques pour avoir perdu les faveurs du tsar, un joueur qui fut au cœur du pouvoir, en indiqua le cap, un impitoyable Machiavel désormais reclus en son mystère.
Certes ce roman, achevé par l’auteur en janvier 2021, éclaire l’actualité géopolitique d’une lumière pénétrante. Mais il lui survivra par son implacable lucidité et son style étincelant. »
Macha Séry, Le Monde des Livres
« Avec Le mage du Kremlin, Giuliano da Empoli nous fait le récit sidérant du système mental et de la logique guerrière de Vladimir Poutine. II raconte en quelque sorte tout ce qui a mené à l’invasion de l’Ukraine le 24 février. Un récit d’une grande force littéraire et historique qu’il faut impérativement lire si l’on veut comprendre ce qui, d’ici, paraît incompréhensible. »
Alexandra Schwartzbrod, Libération
« Giuliano da Empoli a fréquenté les coulisses du pouvoir. C’est probablement ce qui donne à son premier roman une véracité troublante. Ajoutant à sa grande capacité d’analyse un remarquable talent narratif, Giuliano da Empoli nous emporte dans un récit qui éclaire comment Vladimir Poutine s’est emparé de la Russie.
Captivant. »
Guillaume Goubert, La Croix
« Ancien collaborateur de Matteo Renzi, Giuliano da Empoli raconte brillamment le destin de l'un des plus proches conseillers de Poutine.
On ne lâche pas ce livre. »
Aurélie Marcireau, Lire magazine littéraire
« Un roman glacé et brûlant à la fois. Comme une rasade de vodka. Son auteur, Giuliano da Empoli, essayiste et ex-conseiller de Matteo Renzi, nous plonge dans la psyché génialement tortueuse d’un certain Vadim Baranov, alter ego fictionnel de Vladislav Sourkov, le spin doctor de Vladimir Poutine jusqu’en 2021.
Le roman nous entraîne dans l’épopée étourdissante du pouvoir poutinien : de l’exaltation punk des débuts à la glaciation d’un pouvoir qui s’enivre de son exercice absolu et se rêve éternel, toujours plus solitaire avec à la fin pour seul conseiller, un labrador.
Porté par une actualité brûlante, ce livre moderne et visionnaire, possède de surcroît la grâce intemporelle d’un classique. L’érudition, le style et l’art du récit de Giuliano da Empoli portent cette geste brute et brutale à un niveau d’épure métaphysique. »
Paul Vacca, Les Échos
« Une fresque orale courant des années Eltsine jusqu’aux prémices de l’actuelle guerre en Ukraine.
Le mage du Kremlin propose ainsi une introspection vertigineuse dans la psyché d’un vizir de l’Apocalypse. Ce roman d’une pénétration subtile et térébrante fait de son auteur le marionnettiste d’un manipulateur, portrait d’une sorte de Guy Debord pervers cannibalisant les neurones du tyran Poutine. »
Marc Lambron, Le Point
« On ne lâche pas ce roman. Passionnant, suffoquant. Cette analyse clinique de l’art du gouvernement autoritaire. Vous y racontez l’ascension et la consolidation du pouvoir de Poutine à travers les yeux de l’énigmatique Vadim Baranov, son homme de l’ombre, son conseiller politique.
Une actualité stupéfiante car il permet d’entrer au Kremlin et dans la tête de Poutine.
Le grand metteur en scène, celui qui va faire entrer Poutine en politique.
Des pages saisissantes. »
Nicolas Demorand, France Inter
« Un « page turner », super-efficace et documenté, qui décrit les coulisses du pouvoir russe depuis vingt ans avec une écriture simple, séduisante, un réalisme inouï. »
Frédéric Beigbeder, Le Figaro Magazine
« C’est le meilleur premier roman que j’ai lu depuis Les Bienveillantes de Jonathan Littell. »
Frédéric Beigbeder, Le Masque et la Plume
« Ce roman, dont certaines formules bien trempées rappellent les moralistes et mémorialistes français du XVIIe siècle, Giuliano da Empoli l’a terminé en janvier 2021, un an avant l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe. Certains diront que cet écrivain est visionnaire, d’autres qu’il connaît mieux que personne son sujet. Les deux qualités ne sont pas incompatibles. Ajoutons une troisième, le style, et on tient là un grand livre. »
Jérôme Garcin, L’Obs
« C’est un roman absolument extraordinaire, très romanesque. On a l’impression qu’on est assis sur un canapé à côté de Poutine, qu’on est dans la tête de Poutine par le biais de Vadim dont on lit la confession. »
Patricia Martin, Le Masque et la Plume