Le désir attrapé par la queue
Première parution en 1945
Gallimard
Parution
« — les roses de ses doigts sentent la térébenthine — quand j’écoute à l’oreille du silence et je vois ses yeux se fermer et répandre le parfum de ses caresses j’allume des cierges du péché à l’allumette de ses appels — la cuisinière électrique a bon dos »
Paris, 1941. En pleine occupation allemande, un Picasso fiévreux écrit en quatre jours une pièce énigmatique : Le désir attrapé par la queue. Personnages aux noms abscons, didascalies impossibles, dialogues fragmentés… Le sens s’échappe, la logique se dissout dans un tourbillon surréaliste, préfigurant le théâtre de l’absurde.
Paris, 1941. En pleine occupation allemande, un Picasso fiévreux écrit en quatre jours une pièce énigmatique : Le désir attrapé par la queue. Personnages aux noms abscons, didascalies impossibles, dialogues fragmentés… Le sens s’échappe, la logique se dissout dans un tourbillon surréaliste, préfigurant le théâtre de l’absurde.