Le Chevalier à la rose
Parution
L’opéra de Richard Strauss, Le Chevalier à la rose, est l’une des œuvres les plus jouées du répertoire lyrique international. Le livret est lui-même tiré de la pièce que nous donnons ici, et qui a permis à Hofmannsthal, un des plus grands poètes et dramaturges de langue allemande, mais d’abord confidentiel, d’accéder à la renommée mondiale.
Dans cette comédie, presque une opérette viennoise, on voit une femme, la Maréchale, approcher du vieillissement et, avant d’y tomber, accepter le mariage du jeune homme qu’elle aime, avec une jeune fille de son âge.
Le temps, la fragilité, l’identité personnelle, le ridicule sont les principaux thèmes de l’œuvre. La morale n’a rien de tragique, et se chante déjà : «Légers, nous devons l’être […]/La vie punit ceux que ne le sont pas.»
La pièce se déroule au XVIIIᵉ siècle ; libre et charmante, elle évoque la Vienne rococo, où la poésie se teinte d’humour et de mélancolie, parce qu’elle est déjà musique.
Dans cette comédie, presque une opérette viennoise, on voit une femme, la Maréchale, approcher du vieillissement et, avant d’y tomber, accepter le mariage du jeune homme qu’elle aime, avec une jeune fille de son âge.
Le temps, la fragilité, l’identité personnelle, le ridicule sont les principaux thèmes de l’œuvre. La morale n’a rien de tragique, et se chante déjà : «Légers, nous devons l’être […]/La vie punit ceux que ne le sont pas.»
La pièce se déroule au XVIIIᵉ siècle ; libre et charmante, elle évoque la Vienne rococo, où la poésie se teinte d’humour et de mélancolie, parce qu’elle est déjà musique.