Le Certificat
Trad. de l'anglais (États-Unis) par Marie-Pierre Bay
Parution
«Je m’étais réveillé ce matin-là avec le sentiment d’être un conquérant. J’avais donc réellement eu des relations intimes avec une femme… Je me dis : «quoi qu’il arrive à Edusha, même si elle vit jusqu’à cent ans, elle ne pourra jamais oublier qu’il y a eu un David Bendiger dans sa vie.» D’une façon plus ou moins romantique, je me sentais devenu immortel. Si en plus mon essai était publié, je savais que je pourrais me considérer comme très heureux…»
David ressemble comme un frère jumeau à Singer et nous allons passer en sa compagnie quelques semaines à Varsovie, à la fin de l’hiver 1922. Âgé de dix-neuf ans à peine, fragile, timide, sans un sou, il est venu tenter sa chance dans la capitale, habité par deux passions : les femmes et la littérature.
Tragique, comique, attachant, déchirant, il va nous faire passer sans cesse du rire aux larmes. Publié aux États-Unis en 1992, un an après la mort d’Isaac Bashevis Singer, Le certificat a sans doute été écrit plus tôt et était resté inédit. C’est sûrement le plus autobiographique de tous ses livres et on en achève la lecture ému et enchanté.
David ressemble comme un frère jumeau à Singer et nous allons passer en sa compagnie quelques semaines à Varsovie, à la fin de l’hiver 1922. Âgé de dix-neuf ans à peine, fragile, timide, sans un sou, il est venu tenter sa chance dans la capitale, habité par deux passions : les femmes et la littérature.
Tragique, comique, attachant, déchirant, il va nous faire passer sans cesse du rire aux larmes. Publié aux États-Unis en 1992, un an après la mort d’Isaac Bashevis Singer, Le certificat a sans doute été écrit plus tôt et était resté inédit. C’est sûrement le plus autobiographique de tous ses livres et on en achève la lecture ému et enchanté.