La rue chaude
A Walk on the Wild Side
Première parution en 1960
Trad. de l'anglais (États-Unis) par Roger Giroux
Gallimard
Parution
La rue chaude, c'est Perdido Street à La Nouvelle-Orléans, où échoue Dove, dans ce quartier de la prostitution, de l'alcool frelaté, des trafics minables.
Voici le portrait sans complaisance de l'Amérique des années trente, laminée par la crise, le pays de tous ces «poivrots, fadas, couillonnés, estropiés, torturés, écrasés et combinards. Tous ceux qui n'ont personne dans la vie. Tous ceux pour qui personne ne prie jamais».
Dans une langue proche du langage de ces crève-la-faim, Nelson Algren offre un récit décapant et pittoresque, où pointe malgré tout, du fond de l'abîme, la lueur de l'espoir d'une vie meilleure et digne.
Voici le portrait sans complaisance de l'Amérique des années trente, laminée par la crise, le pays de tous ces «poivrots, fadas, couillonnés, estropiés, torturés, écrasés et combinards. Tous ceux qui n'ont personne dans la vie. Tous ceux pour qui personne ne prie jamais».
Dans une langue proche du langage de ces crève-la-faim, Nelson Algren offre un récit décapant et pittoresque, où pointe malgré tout, du fond de l'abîme, la lueur de l'espoir d'une vie meilleure et digne.