La Malaquaise
Collection Blanche
Gallimard
Parution
La Malaquaise est une suite au Dieu nu, qui eut le prix Renaudot en 1951.
Dix-neuf ans après son mariage et la mort de sa sœur Marité, le narrateur de ce précédent récit, Bruno, dont l'optique s'est quelque peu modifiée après tant d'années d'existence conjugale et de vie littéraire à Paris, transcrit ici le résultat de cette nouvelle expérience et d'une épreuve amoureuse.
Bruno est un homme de quarante-trois ans. Il s'éprend d'une jeune fille rencontrée dans le milieu littéraire : Josette Christian. Celle-ci, auteur d'un roman à succès, est la vedette de la saison. Pour elle, Bruno quitte sa femme, ses habitudes et jusqu'à son travail. Mais une vocation, un art, ne se laisse pas brider facilement. Les amours de Bruno et de Josette, rongées par la jalousie et la littérature, ne dureront que le temps qu'il faut pour apporter à l'écrivain le fruit d'une nouvelle et assez singulière expérience.
Il se dégage de ce roman une philosophie : celle de l'acceptation de la vie, avec ses amertumes, ses cruautés, ses richesses. Roman de mœurs, roman social, roman de fine psychologie, La Malaquaise est tout cela ; c'est aussi l'œuvre ample et captivante d'un écrivain en pleine possession de son art.
Dix-neuf ans après son mariage et la mort de sa sœur Marité, le narrateur de ce précédent récit, Bruno, dont l'optique s'est quelque peu modifiée après tant d'années d'existence conjugale et de vie littéraire à Paris, transcrit ici le résultat de cette nouvelle expérience et d'une épreuve amoureuse.
Bruno est un homme de quarante-trois ans. Il s'éprend d'une jeune fille rencontrée dans le milieu littéraire : Josette Christian. Celle-ci, auteur d'un roman à succès, est la vedette de la saison. Pour elle, Bruno quitte sa femme, ses habitudes et jusqu'à son travail. Mais une vocation, un art, ne se laisse pas brider facilement. Les amours de Bruno et de Josette, rongées par la jalousie et la littérature, ne dureront que le temps qu'il faut pour apporter à l'écrivain le fruit d'une nouvelle et assez singulière expérience.
Il se dégage de ce roman une philosophie : celle de l'acceptation de la vie, avec ses amertumes, ses cruautés, ses richesses. Roman de mœurs, roman social, roman de fine psychologie, La Malaquaise est tout cela ; c'est aussi l'œuvre ample et captivante d'un écrivain en pleine possession de son art.