L'homme qui plantait des arbres
Œuvres de Eva Jospin
Collection Blanche grand format illustrée
Gallimard
Parution
Eva Jospin a relevé le défi de la « Grande Blanche illustrée », collection où les artistes ont carte blanche pour se confronter aux plus grands auteurs de la littérature.
L’œuvre de l’artiste plasticienne française, reconnue pour ses sculptures et installations monumentales principalement réalisées en carton, se distingue par la récurrence du motif de la forêt et du paysage, qu’elle travaille avec une grande minutie, transformant le carton en œuvres poétiques.
Pour son entrée dans la collection, elle a choisi d’illustrer L'Homme qui plantait des arbres, de Jean Giono. Paru en 1953, cet éternel classique de l'écrivain est un chant de réconciliation entre l'Homme et la nature. L’écrivain met en scène sa rencontre, au cours d'une promenade en Haute-Provence, avec un personnage extraordinaire : un berger solitaire et paisible qui plante des milliers d'arbres. Les dessins d’Eva Jospin, forêts denses ou ruines majestueuses, évoquent un sentiment de contemplation et nous interrogent sur nos manières de penser et d'habiter le monde à l'heure de l'urgence climatique.
L’artiste s'empare avec brio de ce texte, plantant à son tour une forêt d'espoir.
L’œuvre de l’artiste plasticienne française, reconnue pour ses sculptures et installations monumentales principalement réalisées en carton, se distingue par la récurrence du motif de la forêt et du paysage, qu’elle travaille avec une grande minutie, transformant le carton en œuvres poétiques.
Pour son entrée dans la collection, elle a choisi d’illustrer L'Homme qui plantait des arbres, de Jean Giono. Paru en 1953, cet éternel classique de l'écrivain est un chant de réconciliation entre l'Homme et la nature. L’écrivain met en scène sa rencontre, au cours d'une promenade en Haute-Provence, avec un personnage extraordinaire : un berger solitaire et paisible qui plante des milliers d'arbres. Les dessins d’Eva Jospin, forêts denses ou ruines majestueuses, évoquent un sentiment de contemplation et nous interrogent sur nos manières de penser et d'habiter le monde à l'heure de l'urgence climatique.
L’artiste s'empare avec brio de ce texte, plantant à son tour une forêt d'espoir.
























