Je ne sais si nous avons dit d'impérissables choses
. Une anthologie des «Cahiers de la Petite Dame»
Édition de Peter Schnyder
Parution
«J'ai entrepris ces notations avec l'idée qu'elles serviraient de source, d'éléments, de témoignages à ceux qui voudront un jour écrire l'histoire véritable d'André Gide. Prises sur le vif, ainsi enchâssées dans le quotidien, ces relations me semblèrent présenter en elles-mêmes, par leur seule vérité, un intérêt suffisant.»
De 1918 à 1951, Maria Van Rysselberghe va tenir ses Cahiers et y appréhender la vie d'un des écrivains majeurs de la première moitié du XXᵉ siècle. Son seul but étant de restituer sans parti pris, avec un réel souci de véracité, des souvenirs vivants et précis. Elle y relate l'émerveillement, le côté intense de Gide, son enthousiasme, ses contradictions, sans s'y laisser piéger.
Les Cahiers, qui totalisent plus de 3 000 pages, sont ici «décantés». Ce volume propose une approche thématique et chronologique de la vie d'André Gide. L'évocation du travail de l'écrivain, les souvenirs de l'entourage, le regard porté sur l'histoire, les portraits, maximes et réflexions constituent un vivant témoignage, une sorte de dialogue infini, fidèle au précepte du jeune Gide : Vivre, c'est créer.
De 1918 à 1951, Maria Van Rysselberghe va tenir ses Cahiers et y appréhender la vie d'un des écrivains majeurs de la première moitié du XXᵉ siècle. Son seul but étant de restituer sans parti pris, avec un réel souci de véracité, des souvenirs vivants et précis. Elle y relate l'émerveillement, le côté intense de Gide, son enthousiasme, ses contradictions, sans s'y laisser piéger.
Les Cahiers, qui totalisent plus de 3 000 pages, sont ici «décantés». Ce volume propose une approche thématique et chronologique de la vie d'André Gide. L'évocation du travail de l'écrivain, les souvenirs de l'entourage, le regard porté sur l'histoire, les portraits, maximes et réflexions constituent un vivant témoignage, une sorte de dialogue infini, fidèle au précepte du jeune Gide : Vivre, c'est créer.