Histoire de l'architecture
Présentation de Patrick Mauriès
Parution
Encore méconnu, et bien qu'ayant été une figure de premier plan à son époque, Jean-Charles Moreux fut l'un des architectes et créateurs les plus remarquables au milieu du XXᵉ siècle.
À la fois architecte, décorateur, créateur de meubles et d'objets, amateur éclairé, botaniste et paysagiste de premier ordre, passionné d'ornithologie et astronome averti. En chacun de ces domaines, il fit preuve de la même précision, du même souci du détail, de la même maîtrise technique et, pourrait-on dire, du même tact, du même savoir profond de la matière et de l'objet.
Ce sont toutes ces qualités que l'on retrouve dans cette histoire portative de l'architecture. Couvrant en quelques pages les pays, cultures et régions les plus éloignées, traitant du XVIIIᵉ siècle de Blondel et Ledoux comme de l'architecture maya ou des constructions régionales françaises, il le fait toujours de manière synthétique et lumineuse, en s'attachant à dégager de lieu en lieu, d'édifice en édifice, la contrainte technique, le motif de telle ou telle solution, le pourquoi de tel ou tel choix de construction. Usant du lexique le plus précis possible, s'appuyant sur une série de croquis exécutés par Moreux lui-même, cette histoire «universelle» de l'architecture est en même temps l'une des plus personnelles et des plus originales qui soit.
À la fois architecte, décorateur, créateur de meubles et d'objets, amateur éclairé, botaniste et paysagiste de premier ordre, passionné d'ornithologie et astronome averti. En chacun de ces domaines, il fit preuve de la même précision, du même souci du détail, de la même maîtrise technique et, pourrait-on dire, du même tact, du même savoir profond de la matière et de l'objet.
Ce sont toutes ces qualités que l'on retrouve dans cette histoire portative de l'architecture. Couvrant en quelques pages les pays, cultures et régions les plus éloignées, traitant du XVIIIᵉ siècle de Blondel et Ledoux comme de l'architecture maya ou des constructions régionales françaises, il le fait toujours de manière synthétique et lumineuse, en s'attachant à dégager de lieu en lieu, d'édifice en édifice, la contrainte technique, le motif de telle ou telle solution, le pourquoi de tel ou tel choix de construction. Usant du lexique le plus précis possible, s'appuyant sur une série de croquis exécutés par Moreux lui-même, cette histoire «universelle» de l'architecture est en même temps l'une des plus personnelles et des plus originales qui soit.