Géographie de la circulation aérienne
Préface d'Ed. Warner
Gallimard
Parution
Eugène Pépin évoque en ce livre le prodigieux développement de la circulation aérienne depuis le temps des montgolfières et surtout depuis les premiers vols d'avions au début de ce siècle ; il passe en revue les multiples questions de politique et d'administration internationales qu'il a fallu régler pour adapter aux progrès de la technique les conditions économiques et juridiques de ce nouveau moyen de transport. Grâce à la vitesse, les distances diminuent et les relations humaines se multiplient, en même temps que la sécurité augmente du fait de meilleures prévisions météorologiques et d'une surveillance constante de la circulation au-dessus d'une grande partie du globe.
Les divers aspects de cette circulation sont ici examinés : transport proprement dit, travail aérien et tourisme. Les divers courants de transport, intercontinentaux et transcontinentaux, transocéaniques et transarctiques, régionaux et locaux, font l'objet d'importants développements dont la lecture est facilitée par de nombreuses cartes. Mais le travail aérien, en général moins connu, qui contribue cependant de plus en plus à la connaissance du monde, à l'exploration du sol et du sous-sol et au bien-être de l'humanité, mérite la place qui lui a été réservée. Enfin, l'ouvrage – qui est abondamment illustré – se termine par un aperçu de ce que pourra être la circulation aérienne dans les temps à venir.
Les divers aspects de cette circulation sont ici examinés : transport proprement dit, travail aérien et tourisme. Les divers courants de transport, intercontinentaux et transcontinentaux, transocéaniques et transarctiques, régionaux et locaux, font l'objet d'importants développements dont la lecture est facilitée par de nombreuses cartes. Mais le travail aérien, en général moins connu, qui contribue cependant de plus en plus à la connaissance du monde, à l'exploration du sol et du sous-sol et au bien-être de l'humanité, mérite la place qui lui a été réservée. Enfin, l'ouvrage – qui est abondamment illustré – se termine par un aperçu de ce que pourra être la circulation aérienne dans les temps à venir.