Gange, ô ma mère
Gan¿gamaiya
Première parution en 1967
Parution
A'l'est de Bénarès, le cours du Gange se déplace chaque année, mettant à découvert de riches limons qui forment le lit du fleuve sacré. Les paysans voisins s'empressent de les cultiver, mais les riches propriétaires fonciers mettent tout en œuvre pour se les approprier. Dans le petit village de Dîyar, un ancien lutteur, Matrû, est décidé à leur résister. Par son calme, la force morale qu'il puise dans la vénération du fleuve sacré, il parvient à secouer la passivité de son entourage et à donner à ses compatriotes le sentiment de leur dignité et de leur droit à la vie. En même temps il aide son ami Gopî : il empêche sa belle-sœur, une jeune veuve acculée au désespoir par sa famille, de se suicider et les aidera à se marier secrètement, ce qui va contre la tradition.
Dans ce livre parfaitement original, l'auteur a décrit dans les moindres détails la vie des villages indiens, où l'emprise de la coutume, de la religion et de la non-violence n'est pas aussi rigoureuse que l'on a tendance à le croire en Occident.
Dans ce livre parfaitement original, l'auteur a décrit dans les moindres détails la vie des villages indiens, où l'emprise de la coutume, de la religion et de la non-violence n'est pas aussi rigoureuse que l'on a tendance à le croire en Occident.