Espoirs de longue vie
. Trois étapes biologiques
Gallimard
Parution
«Les maladies de civilisation, la pathologie nouvelle» sont le résultat «d’erreurs du progrès» par la mise en action des «techniques modernes d’élevage». De cette question qui intéresse la totalité du monde civilisé, le professeur J.-L. Pech fait une étude impartiale et complète dans l’exposé de la première des trois étapes biologiques constituant le fond du présent livre.
La seconde étape montre les médecins déroutés par l’apparition incompréhensible des prétendues maladies nouvelles. L’origine réelle de ces désordres de santé bien établie, il semble impossible d’y remédier : on devrait renoncer à des avantages économiques et techniques imposés par un accroissement incessant des populations.
L’auteur, dans l’exposé d’une dernière étape, montre que les maux qui alarment le monde ne sont pas irrémédiables : l’humanité, empoisonnée à son insu «à travers l’animal» par une alimentation toxique du bétail, est certaine, grâce à la réalisation inespérée d’une alimentation génétique des diverses espèces animales, de connaître la longévité en bonne santé dont seuls ont bénéficié jusqu’à ce jour des hommes favorisés par des conditions exceptionnelles d’hérédité rendues banales.
La seconde étape montre les médecins déroutés par l’apparition incompréhensible des prétendues maladies nouvelles. L’origine réelle de ces désordres de santé bien établie, il semble impossible d’y remédier : on devrait renoncer à des avantages économiques et techniques imposés par un accroissement incessant des populations.
L’auteur, dans l’exposé d’une dernière étape, montre que les maux qui alarment le monde ne sont pas irrémédiables : l’humanité, empoisonnée à son insu «à travers l’animal» par une alimentation toxique du bétail, est certaine, grâce à la réalisation inespérée d’une alimentation génétique des diverses espèces animales, de connaître la longévité en bonne santé dont seuls ont bénéficié jusqu’à ce jour des hommes favorisés par des conditions exceptionnelles d’hérédité rendues banales.