Domino
suivi de La Femme en blanc
Collection Blanche
Gallimard
Parution
Domino
«M. Marcel Achard aime la vie, ne voit pas tout en noir, et n’exerce pas de représailles sur ses héros, il fait la part des choses, il sait observer ce qu’il y a de charmant, d’ailé, d’un peu drôle et d’un peu mélancolique aussi dans chacun de nous. Il y a dans tout ce qu’il fait un fond de santé bien sympathique et les pires aventuriers qu’il engage dans son répertoire ont tous quelque chose de tendre, d’humain, et un idéalisme qui n’évoque jamais rien de niais. Cela part sur une anecdote chimérique, incroyable, mais pas plus incroyable que Marivaux et cela s’impose par la promptitude et la vérité des observations, la délicatesse et la rêverie qui court comme une petite source à peine visible dans la prairie, le dialogue dans la vie de tous les jours, les silences bien en place, la fantaisie, le mot drôle quand il faut, et toujours un dénouement pas très moral, mais cependant jamais immoral qui nous laisse détendu et charmé.»
Maurice Martin du Gard, Les Nouvelles Littéraires.
La Femme en blanc
«Cette pièce hardie, originale m’enchante. Elle est à la fois libérée et audacieuse et elle offre des perspectives intéressantes pour nos jeunes auteurs. Elle dépasse de beaucoup comme intérêt tout ce qu’a fait, à mon sentiment, Marcel Achard jusqu’ici. Il faut le féliciter de son évolution. Plus qu’aucune autre des pièces de ce temps elle est dans l’esprit du théâtre de demain. La construction semble arbitraire mais l’idée principale est développée selon une technique associant la fantaisie et la logique dans un parallélisme d’humour et de douleur en un rythme parfait.»
Lugné-Poe, L’Avenir.
«M. Marcel Achard aime la vie, ne voit pas tout en noir, et n’exerce pas de représailles sur ses héros, il fait la part des choses, il sait observer ce qu’il y a de charmant, d’ailé, d’un peu drôle et d’un peu mélancolique aussi dans chacun de nous. Il y a dans tout ce qu’il fait un fond de santé bien sympathique et les pires aventuriers qu’il engage dans son répertoire ont tous quelque chose de tendre, d’humain, et un idéalisme qui n’évoque jamais rien de niais. Cela part sur une anecdote chimérique, incroyable, mais pas plus incroyable que Marivaux et cela s’impose par la promptitude et la vérité des observations, la délicatesse et la rêverie qui court comme une petite source à peine visible dans la prairie, le dialogue dans la vie de tous les jours, les silences bien en place, la fantaisie, le mot drôle quand il faut, et toujours un dénouement pas très moral, mais cependant jamais immoral qui nous laisse détendu et charmé.»
Maurice Martin du Gard, Les Nouvelles Littéraires.
La Femme en blanc
«Cette pièce hardie, originale m’enchante. Elle est à la fois libérée et audacieuse et elle offre des perspectives intéressantes pour nos jeunes auteurs. Elle dépasse de beaucoup comme intérêt tout ce qu’a fait, à mon sentiment, Marcel Achard jusqu’ici. Il faut le féliciter de son évolution. Plus qu’aucune autre des pièces de ce temps elle est dans l’esprit du théâtre de demain. La construction semble arbitraire mais l’idée principale est développée selon une technique associant la fantaisie et la logique dans un parallélisme d’humour et de douleur en un rythme parfait.»
Lugné-Poe, L’Avenir.