De traits en empreintes
Boîte contenant 40 reproductions, 15 fac-similés et 1 livret
Essais de Marie-José Mondzain et Samantha Longhi. Entretien avec l'auteur par Rébecca François
Collection Livres d'Art
Gallimard
Parution
Cette publication originale, sous la forme d'une «boîte d'artiste», accompagne la rétrospective consacrée à Ernest Pignon-Ernest par le musée d'Art moderne et d'Art contemporain de Nice, sa ville natale.
Du plateau d'Albion à Certaldo, de Charleville à Paris, de Naples à Alger, de Nice à Soweto, du Chili à la Palestine... Ernest Pignon-Ernest change les rues du monde en œuvres d'art éphémère. Certaines de ses images, notamment les fusillés de la Commune et son Rimbaud vagabond, reproduites à des centaines de milliers d'exemplaires, sont devenues de véritables icônes des temps modernes.
Précurseur, dès 1966, de ce que l'on nomme désormais le «street art», ses interventions métamorphosent, perturbent, révèlent les lieux et les événements qu'il a précisément choisis. «Je ne fais pas des œuvres en situation, dit Ernest Pignon-Ernest, j'essaie de faire œuvre des situations.»
Du plateau d'Albion à Certaldo, de Charleville à Paris, de Naples à Alger, de Nice à Soweto, du Chili à la Palestine... Ernest Pignon-Ernest change les rues du monde en œuvres d'art éphémère. Certaines de ses images, notamment les fusillés de la Commune et son Rimbaud vagabond, reproduites à des centaines de milliers d'exemplaires, sont devenues de véritables icônes des temps modernes.
Précurseur, dès 1966, de ce que l'on nomme désormais le «street art», ses interventions métamorphosent, perturbent, révèlent les lieux et les événements qu'il a précisément choisis. «Je ne fais pas des œuvres en situation, dit Ernest Pignon-Ernest, j'essaie de faire œuvre des situations.»