Correspondance, écrits et entretiens I, II
. Coffret deux volumes
2000 lettres et cartes, 147 écrits, dont 28 articles et 80 entretiens
Édition de Manuel Cornejo
Collection Tel
Gallimard
Parution
Si l’œuvre de Maurice Ravel (1875-1937) est l’une des plus jouées au monde, sa correspondance et ses écrits sur la musique n’en demeurent pas moins méconnus. Épistolier paresseux selon la rumeur, l’auteur du Bolero a pourtant laissé quelque deux mille lettres et cartes, et pas moins de cent quarante-sept écrits, dont notamment vingt-huit articles et quatre-vingts entretiens.
Réunis patiemment par Manuel Cornejo pendant plus d’un quart de siècle, ces textes apportent un éclairage indispensable sur la vie et l’œuvre du compositeur.
Concision du propos, sens de l’humour, élégance d’une plume qui ne rechigne pourtant pas à recourir à l’argot… Au fil des pages, c’est dans l’univers de Ravel que nous sommes invités à pénétrer, à peu près comme lorsqu’on passe les portes de sa maison du Belvédère à Montfort-l’Amaury. Ses valeurs et ses convictions, ses doutes et ses espoirs, son perfectionnisme, son amour de la nature et des animaux, ses goûts musicaux mais aussi littéraires — de Poe à Alain-Fournier en passant par Mallarmé — nous sont ainsi révélés à travers une voix dont les phonographes n’ont pas a priori gardé la trace, mais qui ressuscite ici dans toute sa vérité.
Réunis patiemment par Manuel Cornejo pendant plus d’un quart de siècle, ces textes apportent un éclairage indispensable sur la vie et l’œuvre du compositeur.
Concision du propos, sens de l’humour, élégance d’une plume qui ne rechigne pourtant pas à recourir à l’argot… Au fil des pages, c’est dans l’univers de Ravel que nous sommes invités à pénétrer, à peu près comme lorsqu’on passe les portes de sa maison du Belvédère à Montfort-l’Amaury. Ses valeurs et ses convictions, ses doutes et ses espoirs, son perfectionnisme, son amour de la nature et des animaux, ses goûts musicaux mais aussi littéraires — de Poe à Alain-Fournier en passant par Mallarmé — nous sont ainsi révélés à travers une voix dont les phonographes n’ont pas a priori gardé la trace, mais qui ressuscite ici dans toute sa vérité.