Correspondance
, tome II
: 1871-1885
Collection Blanche
Gallimard
Parution
Le premier tome de cette Correspondance fut publié en 1959 par Henri Mondor, avec la collaboration de Jean-Pierre Richard. Le deuxième contient quelque deux cent cinquante lettres écrites par Mallarmé entre l’été 1871, lorsqu’il s’installe à Paris et se mêle à la vie ardente de la capitale, et la fin de l’année 1885, lorsque, après des années de lutte et d’obscurité relative, il voit l’élite de la jeunesse poétique se tourner vers lui. En 1875, le Parnasse l’avait exclu de son troisième recueil : en 1885, le mouvement symboliste naissant le salue comme maître.
Ces lettres révèlent l’exquise courtoisie de Mallarmé, son esprit, son ironie délicate, son génie de l’amitié, sa générosité envers ses confrères, et la position centrale qu’il commençait à occuper dans la vie intellectuelle, littéraire et artistique de Paris vers la fin du siècle dernier.
Ces lettres révèlent l’exquise courtoisie de Mallarmé, son esprit, son ironie délicate, son génie de l’amitié, sa générosité envers ses confrères, et la position centrale qu’il commençait à occuper dans la vie intellectuelle, littéraire et artistique de Paris vers la fin du siècle dernier.