(M. de K.)
(M. de K.)
« L’œuvre que Maylis de Kerangal construit livre après livre est fascinante. [...] Canoës est un roman que jai dévoré et qui me hante. Un roman en pièces détachées autour de la voix et de ce qu’elle suggère, autour de la fragilité et de ce que l’on en fait, de la liberté de ces vies auxquelles il faut parfois s’adapter. Huit nouvelles absolument formidables. Un bonheur de lecture. »
François Busnel, La Grande Librairie
« Maylis de Kerangal signe un recueil de nouvelles bruissantes de sons et d’émotions, dont chacune résonne du timbre fragile et trouble de son narrateur. […]
La voix est le grand sujet de Canoës, recueil brillant et émouvant. »
Raphaëlle Leyris, Le Monde des Livres
« Après le très beau Réparer les vivants, après Naissance d’un pont, Maylis de Kerangal revient avec un recueil de huit nouvelles autour de la voix. Des voix de femmes qui racontent leur vie, leurs envies, leurs fêlures, leurs silences. »
Léa Salamé, France Inter
« Canoës dessine le roman en morceaux de femmes en vrac. Le projet performatif n'entrave pas l'émotion : Maylis de Kerangal éblouit et transperce. Ses personnages flottent toutes à la dérive, cherchant leur voie à travers des voix humaines. Au fil de ces récits qu'on écoute autant qu'on les lit, c'est la voix de Maylis de Kerangal qu'on entend, qui raconte les vestiges, les reliefs, les traces, l'infiniment petit qui fait une existence. Splendide. »
Olivia de Lamberterie, Elle
« Embarquée sur son canoë de papier, Maylis de Kerangal remonte le courant jusqu’aux sources de l’écriture, chasseuse-cueilleuse de phrases d’une musicalité brute. »
Élisabeth Philippe, L’Obs
« Une chose ne trompe pas, toutes ces femmes ont la même voix, inimitable, venue des profondeurs, vive et mate, labile et solide, de Maylis de Kerangal, une voix de géologue qui nous raconte des histoires familières en nous faisant entendre l’écho d’étrangeté qu’elles recèlent. Somptueux. »
Astrid de Larminat, Le Figaro Littéraire