Bibliothèque rosse
Préface de René Floriot
Collection L'Air du Temps
Gallimard
Parution
«En quelques années, le frais et riant visage de Carmen Tessier est devenu aussi célèbre et aussi connu que celui de Mistinguett, de Maurice Chevalier ou de Rita Hayworth.
C'est qu'il paraît, chaque jour, en première page du plus grand journal français, où Carmen Tessier a lancé et rédigé ses fameux Potins de la Commère, brillante chronique de la vie parisienne et anthologie de l'esprit de Paris.
Renouvelant, d'une façon incisive et percutante, l'art de l'écho, adoptant "à la française" les fameuses "colonnes" des journaux anglo-américains, la "Commère" a imposé son personnage avec tant de force qu'il n'est guère de revues ou spectacles de chansonniers où elle ne soit ou citée ou imitée. Ses interviews ont paru dons la presse du monde entier et ont couru sur toutes les ondes. On répète ses mots, on raconte ses histoires.
Redoutée des gens en place, elle est pourtant leur amie, car sa rosserie se tempère toujours de grandes gentillesses.
Maître René Floriat, qui présente son premier livre : La Bibliothèque Rosse, dans une spirituelle et vibrante "plaidoirie" se plaint que, étant son avocat depuis longtemps, il n'a jamais eu à plaider de procès contre ses victimes!
Carmen Tessier, après avoir été vendeuse dans un magasin de quincaillerie, a débuté comme speaker à la radio, au Poste Parisien, avant la guerre. Puis elle fut chroniqueur judiciaire et reporter avant d'inaugurer, dans France·Soir, sa rubrique de la Commère.
Cest pour répondre à un désir maintes fois exprimé qu'elle a décidé de réunir, chaque année, ses meilleurs potins en un livre qui sera, tous les douze mois, à la fois une sorte de dictionnaire de la bonne humeur et d'anthologie du bon humour.»
C'est qu'il paraît, chaque jour, en première page du plus grand journal français, où Carmen Tessier a lancé et rédigé ses fameux Potins de la Commère, brillante chronique de la vie parisienne et anthologie de l'esprit de Paris.
Renouvelant, d'une façon incisive et percutante, l'art de l'écho, adoptant "à la française" les fameuses "colonnes" des journaux anglo-américains, la "Commère" a imposé son personnage avec tant de force qu'il n'est guère de revues ou spectacles de chansonniers où elle ne soit ou citée ou imitée. Ses interviews ont paru dons la presse du monde entier et ont couru sur toutes les ondes. On répète ses mots, on raconte ses histoires.
Redoutée des gens en place, elle est pourtant leur amie, car sa rosserie se tempère toujours de grandes gentillesses.
Maître René Floriat, qui présente son premier livre : La Bibliothèque Rosse, dans une spirituelle et vibrante "plaidoirie" se plaint que, étant son avocat depuis longtemps, il n'a jamais eu à plaider de procès contre ses victimes!
Carmen Tessier, après avoir été vendeuse dans un magasin de quincaillerie, a débuté comme speaker à la radio, au Poste Parisien, avant la guerre. Puis elle fut chroniqueur judiciaire et reporter avant d'inaugurer, dans France·Soir, sa rubrique de la Commère.
Cest pour répondre à un désir maintes fois exprimé qu'elle a décidé de réunir, chaque année, ses meilleurs potins en un livre qui sera, tous les douze mois, à la fois une sorte de dictionnaire de la bonne humeur et d'anthologie du bon humour.»