A. O. Barnabooth, ses œuvres complètes - Fermina Márquez - Enfantines - Beauté, mon beau souci... - Amants, heureux amants... - Mon plus secret conseil...
Préface de Roger Grenier
Collection Biblos
Gallimard
Parution
Simple et raffiné, sentimental et cynique, voyageur et contemplatif, ne sachant jamais s'il préfère la littérature aux femmes ou la «nation» des femmes aux livres, Larbaud construit son art sur ses contradictions. Il invite le lecteur à les partager. Et, en effet, comment ne pas tomber sous le charme de chacune des œuvres de fiction regroupées dans le présent volume ?
On commence par A. O. Barnabooth qui est bien plus qu'un roman : les œuvres complètes d'un richissime américain imaginé par Larbaud, et qui se serait mis à vivre et à écrire de façon autonome. Suit Fermina Márquez, considéré comme un des meilleurs romans sur les amours adolescentes. Ensuite Enfantines, ces nouvelles qui mêlent l'esprit d'enfance à un délicat érotisme. Enfin les trois courts romans : Beauté, mon beau souci..., Amants, heureux amants..., et Mon plus secret conseil..., qui offrent plusieurs portraits doux-amers de femmes : aimées quittées.
Les histoires de Larbaud restent longtemps dans l'esprit du lecteur. On se prend à rêver à ces jours où d'heureux mortels n'avaient rien d'autre à faire que de voyager, tomber amoureux, se consoler en Espagne des chagrins de Londres, traîner dans les librairies de Florence et goûter, à travers l'Europe, la magie des wagons-lits.
On commence par A. O. Barnabooth qui est bien plus qu'un roman : les œuvres complètes d'un richissime américain imaginé par Larbaud, et qui se serait mis à vivre et à écrire de façon autonome. Suit Fermina Márquez, considéré comme un des meilleurs romans sur les amours adolescentes. Ensuite Enfantines, ces nouvelles qui mêlent l'esprit d'enfance à un délicat érotisme. Enfin les trois courts romans : Beauté, mon beau souci..., Amants, heureux amants..., et Mon plus secret conseil..., qui offrent plusieurs portraits doux-amers de femmes : aimées quittées.
Les histoires de Larbaud restent longtemps dans l'esprit du lecteur. On se prend à rêver à ces jours où d'heureux mortels n'avaient rien d'autre à faire que de voyager, tomber amoureux, se consoler en Espagne des chagrins de Londres, traîner dans les librairies de Florence et goûter, à travers l'Europe, la magie des wagons-lits.