342 heures dans les Grandes Jorasses
Première parution en 2010
Parution
Le 11 février 1971, René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène à la pointe Walker (4 208 mètres).
L’ascension se révèle difficile, la neige tombe sans discontinuer, les cordes sont très endommagées par des chutes de pierres, les pitons manquent. Le 15 février, à trois cents mètres du sommet, Serge Gousseault montre des signes de faiblesse alarmants. Désormais, chaque mètre gagné est un combat. Les bourrasques et le froid glacial épuisent l’homme qui meurt le 22 février. René Desmaison sera sauvé in extremis au quinzième jour.
En son temps, ce drame des Grandes Jorasses souleva une vive polémique sur les secours en montagne. Ce récit exceptionnel reste un hymne à l’ascension, une leçon de solidarité et un poignant témoignage sur la vulnérabilité de l’alpiniste face aux éléments.
L’ascension se révèle difficile, la neige tombe sans discontinuer, les cordes sont très endommagées par des chutes de pierres, les pitons manquent. Le 15 février, à trois cents mètres du sommet, Serge Gousseault montre des signes de faiblesse alarmants. Désormais, chaque mètre gagné est un combat. Les bourrasques et le froid glacial épuisent l’homme qui meurt le 22 février. René Desmaison sera sauvé in extremis au quinzième jour.
En son temps, ce drame des Grandes Jorasses souleva une vive polémique sur les secours en montagne. Ce récit exceptionnel reste un hymne à l’ascension, une leçon de solidarité et un poignant témoignage sur la vulnérabilité de l’alpiniste face aux éléments.