Catherine Missonnier
D'aussi loin qu'elle s'en souvient, Catherine Missonnier a toujours inventé des histoires.
Pour elle d'abord : petite, elle vivait un pied dans la réalité, l'autre dans un espace parallèle, dans lequel elle sautait dès la porte de sa chambre fermée.
Puis pour ses amies de pension, au lycée de Tananarive, à Madagascar, où les longues et tièdes récréations débridaient l'imagination.
Enfin, avec un plaisir renouvelé, pour ses quatre enfants.
Elle n'a jamais vraiment pensé à les écrire. Elles n'existaient qu'au fil de leur invention. Mais, en 1988, elle s'est accordé une parenthèse dans une vie familiale et professionnelle surchargée, pour coucher quelques aventures dans un cahier à spirales. Cela lui a procuré tant de plaisir qu'elle a temporairement délaissé l'urbanisme pour des histoires d'espionnage, d’enlèvements, de sorciers, d’assassins et d’amour impossibles.
Pour elle d'abord : petite, elle vivait un pied dans la réalité, l'autre dans un espace parallèle, dans lequel elle sautait dès la porte de sa chambre fermée.
Puis pour ses amies de pension, au lycée de Tananarive, à Madagascar, où les longues et tièdes récréations débridaient l'imagination.
Enfin, avec un plaisir renouvelé, pour ses quatre enfants.
Elle n'a jamais vraiment pensé à les écrire. Elles n'existaient qu'au fil de leur invention. Mais, en 1988, elle s'est accordé une parenthèse dans une vie familiale et professionnelle surchargée, pour coucher quelques aventures dans un cahier à spirales. Cela lui a procuré tant de plaisir qu'elle a temporairement délaissé l'urbanisme pour des histoires d'espionnage, d’enlèvements, de sorciers, d’assassins et d’amour impossibles.