Une nouvelle édition des classiques du polar et du roman noir
Les plus grands noms du polar sont remis à l'honneur par la collection Série Noire Classique, dans de nouvelles traductions accompagnées d'une préface inédite.
Sous l’impulsion de Marcel Duhamel — traducteur, ami proche de Jacques Prévert et Raymond Queneau — les Éditions Gallimard lancent en août 1945 une toute nouvelle collection : la Série Noire. Consacrée au roman policier, elle publie dès ses débuts les œuvres les plus représentatives du nouveau roman policier anglais et américain : Peter Cheyney, James Hadley Chase, Raymond Chandler et Don Tracy en sont parmi les premiers auteurs. En vingt ans ce sont plus de mille titres qui seront publiés et de nombreux auteurs emblématiques rejoindront les rangs de la mythique collection.
Aujourd’hui, la Série Noire vous invite à redécouvrir ces œuvres intemporels à travers la Série Noire Classique : une collection qui republie les premiers romans fondateurs dans des versions modernisées, avec de nouvelles traductions ou des préfaces exclusives.
Pour célébrer ses 80 ans, la Série Noire met en lumières trois écrivaines d’exception et vous propose de plonger dans 3 romans glaçants.
Dans La Cinquième Femme, découvrez le Budapest des années 50. Dans la ville déchirée par les combats, sur fond de résistance et de collaboration, de règlements de comptes et de marché noir, s'engage entre l’inspecteur Nemetz et un médecin accusé de meurtre un subtil jeu du chat et de la souris, dont l'issue est irrémédiablement liée au conflit.
Avec le roman Et pourtant, elle tourne ! vous irez au cœur des États-Unis, dans une petite ville côtière en fête. Montagnes russes, cloche de plongée, cartomancienne, caricaturistes, vendeurs de hot dogs, grande roue qui tourne… avec dans l’une des cabines un homme nommé Tony Webb en train de fouiller un cadavre.
Enfin, dans À contre voie, Walter Johnson, solitaire et sans le sou rencontre une jeune femme qui lui demande d‘effectuer une course en échange du repas tant espéré.
Mais à son retour de l’épicerie, la belle l’accuse publiquement d’avoir tué son mari, qu’elle-même vient d’assassiner. Au lieu de se défendre, Walter prend alors la pire décision de sa vie : il s’enfuit avec la meurtrière.
