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Philippe Bordas

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Autour de l'auteur

  • Dans les médias

    « Un livre miraculeux. Une rafale d'images, de sensations, d'histoires vraies. Une sorte d'épopée célinienne. »
    Jacques-Pierre Amette, Le Point

    « Un livre somptueux. »
    Cécile Guilbert, Le Monde des livres

    « Mais d’où sort ce Bordas, nom de Dieu ? Neveu de Céline pour le coup de rein et le style. De Thibaudet pour l’érudition. C’est beau à chialer. »
    Jean-Louis Le Touzet, Libération

    « Un acte de rupture violente avec la production littéraire d’aujourd’hui, criant son espoir et sa foi en une nouvelle poésie. »
    Dominique Le Guilledoux, Le Monde des livres

    « Bordas frappe un grand coup. Il s’impose comme un redoutable styliste. Il excelle dans tous les registres. »
    Jean-Claude Raspiengeas, La Croix

    « Une érudition sauvage, une histoire de France rageuse. Ce souci des mots, du style, est une provocation. »
    Pierre Sorgue, Géo

    « Une époustouflante symphonie. »
    Jean-Claude Renard, Politis

    « Un livre furieux et rédempteur, à la poursuite d’un rêve échappé. Un travail exceptionnel. »
    Jean-Marc Parisis, Le Figaro littéraire

    « Un exploit d'écriture. »
    Jean-Emmanuel Ducoin, L'Humanité

    « Absolument impossible à lâcher. »
    Le Monde

    « Biographie d'un géant délaissé, autobiographie d'un vrai homme de lettres et de surcroît bel objet : la gageure est relevée haut la main. TTT »
    Télérama

    « Une déclaration d'amour, à l'érudition discrète. Fascinant. »
    Le Figaro littéraire

    « Sortant de ce Célibataire absolu, on éprouve ce bonheur suprême d'avoir passé du temps avec un écrivain, un vrai. Un géant. »
    Le Quotidien du Luxembourg

    « Il me plaît de penser qu'un autre écrivain français vive d'une manière si radicale cette expérience enflammée qu'on appelle la littérature. Un romancier à la langue féérique. »
    Yannick Haenel, Charlie Hebdo

    « Un livre qui échappe à tous les genres parce qu'il participe de chacun d'eux. »
    Richard Blin, Le Matricule des Anges

    « Un exercice d'admiration. Une fulgurance romanesque. »
    Philippe Chauché, La Cause littéraire

    « Plus de quatre cents pages jubilatoires, ciselées comme un diamant, pour nous faire entrer dans la prose baroque de Gadda. »
    Annabelle Gugnon, Art Press

    « Une épopée flamboyante où tout flotte et s'envole avec l'intensité de la suggestion. »
    Jean-Paul Gavard-Perret, Le Salon littéraire

    « Bordas secoue notre méconnaissance de la littérature italienne moderne et de ses remous de l'époque fasciste et postfasciste. »
    Stéphane Guégan, La Revue des deux Mondes

    « À sa panoplie médiévale, Philippe Bordas associe aujourd’hui l’imaginaire romantique dans un livre dont l’ambition est de provoquer la rencontre du fin’amor et de la chevalerie sous le regard inquisiteur des satellites de télécommunication. Cavalier noir, c’est aussi, c’est surtout un grand combat contre la dissolution du Temps, une lutte pour la résurrection avant même d’avoir éprouvé « le choc terrible de l’au-delà » dont parlait le poète cubain Lezama Lima. Cette possibilité de ressusciter avant d’avoir connu la mort est le privilège du poète. Doué pour retrouver le Temps, Philippe Bordas en dispose librement. »
    Sébastien Lapaque, Le Figaro Littéraire
     

    « Une prose de feu. Avec un livre qui donne le goût des libérations lumineuses, élève l’assoiffement existentiel à la hauteur d’un enlèvement au ciel, Philippe Bordas cherche à réenchanter la langue. Il est des livres que l’écriture, le ton distinguent immédiatement. »
    Richard Blin, Le Matricule des Anges

    « Le travail de Philippe Bordas est d’une ambition sidérante et d’une modestie qu’on comprend lentement ; n’affichant aucune militance, son écriture recycle l’énergie des souffrances pour faire encre personnelle. […] Ce que raconte Cavalier noir est l’invention simultanée de soi-même et de la littérature. »
    Jean Cléder, Revue AOC

    « S’il avait pu choisir son époque, nul doute que Philippe Bordas aurait vécu le temps des duels. Et comme ses origines familiales le situent non loin du Périgord, il aurait tiré l’épée en compagnie des mousquetaires. Il aime rompre des lances, défier, croiser le fer. Mais son arme pour ce faire est la langue française dont chacun de ses livres célèbre la vivacité et combat l’affadissement. »
    Norbert Czarny, En attendant Nadeau

     « Philippe Bordas nous offre avec Cavalier noir un roman superbe et envoûtant. Cousin des romantiques allemands, frère de l'homme aux semelles de vent, le style de cet écrivain est une fête pour l'esprit, il construit une œuvre singulière et unique. »
    Philippe Touron, Librairie Le Divan, Paris

    « Un narrateur fugue vélo sur l’épaule vers l’Allemagne pour rejoindre une jeune femme : dans son nouveau roman, Cavalier noir, Philippe Bordas revigore brillamment l’archétype de la muse. Quel parisien de nos jours n’a pas envie de quitter la masse grise et sombre de sa ville ? Comment ne pas succomber au plaisir de la fuite dictée par le seul plaisir ?  Celle de cet écrivain, moderne pícaro, est parfaitement orchestrée. »
    Arnaud Jamin, Diacritik

    « Le récit d’une relation amoureuse. Mais c’est aussi, et surtout, un travail sur la langue de haute volée. Tout le dynamisme de Cavalier noir tient entre l’antan et l’aujourd’hui. Puisant dans son existence la matière de ses livres, Philippe Bordas s’invente, réinvente sa vie, se remémore, imagine, flirtant avec une hallucination du réel. Où chaque phrase tourne à l’uppercut. Une constance chez l’auteur, pleinement inscrit dans la prose poétique : d’un texte à l’autre, le récit qui fait roman plante le décor d’une lutte exigeante avec la langue, le matériau. Une gifle magistrale dans l’écriture. C’est la marque de fabrique de Philippe Bordas. »
    Jean-Claude Renard, Politis

    « Un roman de virtuose. Virtuose de la langue française, avec un phrasé, un rythme, une musicalité résolument originaux, des descriptions de villes, de voyages, aux accents rimbaldiens. »
    Danielle Cillien Sabatier, Librairie Galignani, Paris