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Anna Hope

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    « Nos Espérances se distingue d'autres fresques générationnelles grâce à la subtilité de sa construction. La romancière éclate la chronologie des trajectoires de ses héroïnes, et mélange les étapes de leur évolution. Elle éparpille leurs états d'âme. Cette fragmentation reflète la plasticité psychique de ces femmes, plus ou moins vaillantes, plus ou moins fortes selon les années. Anna Hope juxtapose un peu de tristesse, millésime 2010, et des idées lumineuses datant de 1995 ; un élan amoureux de 1998 et une nuit d'amour de 2011. Une telle structure fait de ce tableau de mœurs le reflet de l'opacité de nos existences et de nos engagements. »
    Virginie Bloch-Lainé, Libération
    « L’écrivaine britannique livre le très réussi Nos espérances, roman dans lequel elle a mis beaucoup d’elle-même : ses espoirs, dans sa jeunesse, en tant qu’actrice, aujourd’hui en tant que mère et en tant que femme. [… Cette construction fragmentaire, la manière dont Anna Hope travaille sur le temps et ce qu’il fait à ses personnages, donne son originalité à Nos espérances, qui pourrait n’être, autrement, qu’un roman générationnel aux airs de léger déjà-vu. Mais il y a aussi la délicatesse, la drôlerie et la pertinence de l’écrivaine, qui montre une grande aisance dans un registre contemporain après deux très beaux romans historiques. »
    Raphaëlle Leiris, Le Monde des Livres
    « Trois destins de femmes pour un roman de formation qui prend la forme d’une éducation sentimentale, conjugale, maternelle et sociale, à une époque où la condition féminine est encore assujettie à la conformité d’un modèle de réussite qui exalte une perpétuelle jeunesse à entretenir, sous peine de se sentir abandonnée. Ou comment s’écrivent les vies contemporaines, nourries de petites espérances et de grandes déceptions, de petits bonheurs et de grandes désillusions, avec des aspirations somme toute assez moyennes, voire communes. »
    Jean-Claude Raspiengeas, La Croix