Par les nuées de Shrâvana et autres poèmes
Trad. du bengali par Saraju Gita Banerjee
Textes extraits de L’esquif d’or (Connaissance de l’Orient, Éd. Gallimard)
Parution
« Le printemps qui un jour
en folâtre compagnie
vint animer ma cour
de son rire cristallin,
bruissant dans les rameaux
fleuris du grenadier
dans les palâsha en épi,
les vermeils kânchana,
les pârul et dans les bois
aux pousses nouvelles,
qui fit rougir de son baiser mutin
le ciel bleu subjugué… »
Lyrisme et spiritualité se mêlent dans ce recueil poétique du maître indien, Prix Nobel de littérature en 1913.
en folâtre compagnie
vint animer ma cour
de son rire cristallin,
bruissant dans les rameaux
fleuris du grenadier
dans les palâsha en épi,
les vermeils kânchana,
les pârul et dans les bois
aux pousses nouvelles,
qui fit rougir de son baiser mutin
le ciel bleu subjugué… »
Lyrisme et spiritualité se mêlent dans ce recueil poétique du maître indien, Prix Nobel de littérature en 1913.