Autour du livre

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  « Légende d’une disparition et d’une réapparition, hommage à une athlète exceptionnelle, Olympia de Paul-Henry Bizon entremêle le destin de Marie-José Pérec avec celui d'une chef du service marketing d’un horloger de luxe. […] Plus que l’image, c’est le langage qui occupe Paul-Henry Bizon. Il raconte une histoire de prédation en confrontant la langue dévoyée du marketing à la langue de ceux qui font ce qui les anime. L’écrivain jette des ponts entre Roxanne et Marie-José, une sonate inachevée de Schubert et des chants kongo, exposant son idéal d’une résistance née des alliances impossibles et des chemins inattendus. »
  Gladys Marivat, Le Monde des Livres