Autour du livre

• Dans les médias

  « La terreur. Comment peut-elle s’installer dans un noyau familial à priori sans histoire, jusqu’à l’asphyxier ?
  Comme un archéologue qui nettoie délicatement un fragment de terre cuite, Charles Sitzenstuhl met finement au jour les vestiges d’une enfance dont il fallait bien parler un jour. »
  Stéphane Ehles, Télérama

  « C’est un roman du père, dont le nom figure en héritage sur la couverture, avec son poids de violence et de mystère, ses sonorités dures à dire, son étrangeté de frontière.
  La Golf blanche réussit à atteindre une forme d’universalité laconique, assez remarquable. »
  Fabrice Gabriel, Le Monde des Livres