Le Menteur - La Suite du Menteur - Avertissements des éditions collectives de 1644 et de 1648 - Rodogune - Théodore vierge et martyre - Lettre à René II de Voyer d'Argenson - À Monsieur de Boisrobert, abbé de Châtillon - Héraclius empereur d'Orient - Discours de réception à l'Académie française (1647) - Les Triomphes de Louis le Juste XIIIe du nom, roi de France et de Navarre - Andromède - Dessein de la tragédie d'Andromède - Don Sanche d'Aragon - À Saint Bernard - Correspondance de Pierre Corneille et de Constantin Huygens, seigneur de Zuylichem - À Mademoiselle de Cosnard de Sées - Nicomède - Pertharite roi des Lombards - L'Imitation de Jésus-Christ - À Monsieur d'Assoucy - À Monsieur de Loy - Poésies choisies (recueil Sercy) - Épitaphe sur la mort de Damoiselle Ranquet - Lettres au R.P. Boulart - À Monsieur de Campion - Lettres de Gilles Boileau.
«On doit à Corneille (1606-1684) quinze pièces de théâtre baroques, pleines de vie et d'invention et quatre fameuses tragédies d'héroïsme (Le Cid, Horace, Cinna, Polyeucte). Mais c'est dans une dizaine de pièces tardives que son génie se déploie : Théodore, Rodogune, Héraclius, Othon... Il y dévoile le fond de l'expérience humaine : le tragique (et même le comique) est moins dans ce que coûte le devoir ou l'erreur que dans l'impossibilité de savoir quoi faire. "Devine si tu peux et choisis si tu l'oses."»
Jean Grosjean.